Le Premier ministre, qui avait fait de ce vote un choix de "haute responsabilité nationale", a recueilli 251 votes positifs sur un total de 300 députés pour aller négocier samedi avec les créanciers du pays (UE, BCE, FMI) sur la base de la proposition qu’il a mise sur la table jeudi soir. Mais il a enregistré les défections d’environ dix députés de son parti de gauche radicale Syriza qui se sont abstenus ou, pour deux d’entre eux, ont voté contre ce plan d’accord.
