"Je pense que nous pouvons résumer la position de la France en trois points : le débat, oui, doit avoir lieu, il est légitime. En revanche, le pugilat non !", a-t-il lancé. "Et enfin, il faut renforcer le partenariat entre la France et l’Allemagne", a-t-il ajouté. "La France et l’Allemagne sont le coeur de la formation européenne", a souligné le ministre des Affaires étrangères, qui souhaite maintenant "avancer".