"Je m’indigne très fortement", a déclaré sur Europe 1 la présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD).
"Je ne peux pas m’imaginer que ce texte aille au bout. S’il était voté in fine, je ne ferai plus partie de cette majorité.
Si on donne l’autorisation à une personne de tuer une autre personne, on va vers la barbarie. Le danger est là", a-t-elle insisté.