"Ce que je souhaite de tout coeur pour la démocratie égyptienne naissante, c’est (qu’elle) prenne le temps de se doter de formations politiques, de structures, de principes" afin de trouver "le chemin de la démocratie et non pas le chemin d’une autre forme de dictature, la dictature religieuse, comme malheureusement ça s’est passé en Iran après le départ du shah d’Iran", a-t-il déclaré.
"Tout ce que nous pourrons faire, nous démocraties occidentales, à notre place, pour aider l’Egypte, pour aider la Tunisie, à cheminer vers la démocratie, pour ne pas tomber d’un système à une autre qui serait pire, c’est notre devoir moral de le faire, et c’est aussi notre intérêt", a-t-il conclu.