« Un message clair doit être envoyé au régime militaire égyptien qu’il court le risque de poursuites. C’est le but de la déclaration d’accepter la juridiction », a expliqué l’avocat John Dugard à Londres.
Des avocats représentant le parti Liberté et Justice (PLJ), vitrine politique des Frères musulmans, ont expliqué avoir soumis à la CPI une déclaration au nom de l’ancien président Mohamed Morsi dans laquelle il accepte la juridiction internationale. Cette déclaration a été faite alors que l’Egypte n’a pas ratifié le Statut de Rome instituant la CPI et que Mohamed Morsi n’est plus président.