Pour Didier François, "il fallait y aller, c’est indiscutable. On apprend le mardi l’utilisation des armes chimiques, on a pris l’avion, et c’était une excellente décision de la direction. On n’est pas des inconscients mais l’utilisation d’armes chimiques d’un régime contre sa population, ce n’est pas anodin. C’est notre métier de trouver des témoignages et des les rapporter. Si on ne fait pas ça, à quoi sert-on ?"
