Cette attaque à Abobo pourrait constituer un "crime contre l’humanité", selon l’ONU, qui a évalué à plus de 410 le nombre de morts dans les violences post-électorales en Côte d’Ivoire depuis la mi-décembre.
La France a condamné vendredi un "massacre délibéré de civils" par des forces fidèles au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, après un bombardement qui a fait près de 30 morts la veille à Abidjan, a indiqué le ministère des Affaires étrangères.