La question de la légalité de la procédure suivie pour identifier les sources du "Monde" dans le cadre de l’affaire Woerth-Bettencourt est clairement posée. Le directeur général de la police nationale avait affirmé que la "vérification technique" des relevés téléphoniques lui ayant permis de désigner l’auteur des fuites avait été menée après consultation d’une "personnalité qualifiée". Celle-ci aurait été désignée par le président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), afin de "vérifier le bien-fondé et le respect des obligations légales". Une désignation démentie au "Monde" par le délégué général de la CNCIS.
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