Berlusconi bénéficie de la prescription dans une affaire de corruption

Le tribunal de Milan (nord de l’Italie) a jugé, samedi, que les faits de corruption de témoin dont était accusé l’ex-chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, dans le procès Mills étaient prescrits.

Le Parquet avait requis cinq ans de prison contre Berlusconi, tandis que la défense réclamait l’acquittement, ou à défaut la prescription.

Dans cette affaire, Berlusconi était accusé d’avoir versé 600.000 dollars à son ancien avocat britannique, David Mills, contre des faux témoignages dans deux procédures durant les années 1990.

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