Selon un communiqué du ministère de l’Intérieur marocain, parmi les éléments arrêtés figurent des repris de justice, des individus recherchés dans le cadre d’affaires de droit commun et d’éléments opportunistes qui ne sont aucunement concernés par les revendications sociales mais qui exploitent ces mêmes revendications à des fins politiques selon un agenda bien défini.
Ces éléments ont délibérément fait peu de cas des résultats du dialogue entamé depuis deux semaines par les pouvoirs publics sur les revendications sociales exprimées et en ont façonné à leur guise les contenus et exercé la menace et la violence physique et psychique à l’encontre des personnes se trouvant dans le camp, en particulier les femmes, les enfants et les personnes âgées en vue de les dissuader de quitter le camp ou de démonter leurs tentes.
Ces actes interviennent au moment où se poursuit l’examen de tous les dossiers à caractère social pour satisfaire les revendications conformément aux critères de mérite et d’équité par les commissions composées des pouvoirs publics, des chioukhs de différentes tribus, des élus et des représentants de la société civile, ajoute le communiqué.
Les forces de l’ordre, composées d’éléments de la Gendarmerie Royale et des Forces auxiliaires, ont procédé, lundi matin, sous la supervision des autorités judicaires, à l’arrestation d’éléments qui menaçaient des personnes se trouvant au camp Gdim Izik à l’est de la ville de Laâyoune.
Un communiqué du ministère de l’Intérieur a indiqué que parmi les éléments arrêtés figurent des repris de justice, des individus recherchés dans le cadre d’affaires de droit commun et d’éléments opportunistes qui ne sont aucunement concernés par les revendications sociales mais qui exploitent ces revendications à des fins politiques selon un agenda bien défini.
Ces éléments ont délibérément fait peu de cas des résultats du dialogue entamé depuis deux semaines par les pouvoirs publics sur les revendications sociales exprimées et en ont façonné à leur guise les contenus et exercé la menace et la violence physique et psychique à l’encontre des personnes se trouvant dans le camp, en particulier les femmes, les enfants et les personnes âgées en vue de les dissuader de quitter le camp ou de démonter leurs tentes.
Ces actes interviennent au moment où se poursuit l’examen de tous les dossiers à caractère social pour satisfaire les revendications conformément aux critères de mérite et d’équité par les commissions composées des pouvoirs publics, des chioukhs de différentes tribus, des élus et des représentants de la société civile, ajoute le communiqué. Les pouvoirs publics ont entamé cette opération, qui a duré moins d’une heure et qui a permis de démanteler totalement le camp, pour préserver l’ordre public et assurer la sécurité des citoyens après avoir épuisé toutes les voies vvisant à instaurer les bases du dialogue sérieux et responsable et après que les personnes arrêtées aient commis des actes qui dépassent le seuil du tolérable en violation flagrante de la loi, rappelle le communiqué.
Les mis en cause seront déférés devant la justice dès clôture de l’enquête judicaire, conclut la même source.