Reconnaissant que "l’Algérie a marqué sa différence au début" du conflit libyen, Mourad Medelci a expliqué que c’était uniquement parce qu’"elle a porté longtemps l’espoir que l’affaire libyenne pouvait être réglée dans la paix et sans intervention étrangère".
Le ministre des Affaires étrangères algérien représentera son pays à la Conférence internationale sur la Libye à Paris jeudi.