"Bien que les Etats-Unis ne soient pas actuellement dans une position de se joindre à l’adhésion, nous continuons de soutenir les objectifs généraux représentés" par "l’Appel de Christchurch", a indiqué la Maison Blanche.
Par cet appel, initié par le président français Emmanuel Macron et la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern et déjà adopté par plusieurs pays, les plateformes internet –dont Facebook et Google– se sont engagées à lutter contre "les contenus en ligne terroristes ou extrémistes violents".