"Nous sommes tombés d’accord qu’il faut continuer à travailler entre la Grèce et les institutions et que l’eurogroupe de samedi revêt une importance décisive, car le temps presse", a dit la chancelière à l’issue de dix heures de discussions avec ses partenaires de l’UE réunis en sommet à Bruxelles. "Je considère que cette réunion de samedi est cruciale parce que nous sommes à l’échéance", a déclaré pour sa part M. Hollande.

