Selon Dunja Mijatovic, la représentante de l’OSCE pour la liberté de la presse, les nouvelles méthodes de surveillance et d’enquête prévues par le texte « affecteront le droit des journalistes à protéger la confidentialité de leurs sources, et l’ensemble de leur travail ».
L’OSCE en appelle à la mise en place d’un « environnement de communication digne de confiance », à défaut de quoi « le droit des journalistes à rechercher et obtenir de l’information dans l’intérêt général serait gravement remis en cause ».