La décision d’évacuer le personnel "n’est jamais prise à la légère" mais "en l’absence d’assurances crédibles que les parties au conflit respecteront le statut protégé des structures de soins, du personnel soignant et des patients, il n’y a pas d’autres solutions", a expliqué l’ONG dans un communiqué. D’après MSF, c’est la quatrième fois qu’une structure qu’elle soutient est touchée au Yémen, ravagé par une guerre depuis un an et demi. (AFP)
