"Moi je ne suis pas partisane du statu quo. Je ne dis pas qu’il (ne) faut rien bouger par exemple dans le droit du travail, dans le Code du travail. Il y a évidemment des choses qui peuvent évoluer, mais le problème c’est que la méthode qui a été employée est catastrophique", a-t-elle déclaré mardi sur France 2.
"J’espère que lors de la discussion avec les partenaires sociaux, le texte qui sera proposé au conseil des ministres, à la fin du mois de mars, sera plus acceptable. On verra, on jugera sur place", a-t-elle ajouté.
"Si les entreprises n’embauchent pas, c’est parce qu’elles n’ont pas de carnet de commandes, c’est pas parce qu’elles ne peuvent pas licencier. (…)", a encore estimé Mme Filippetti.
En fait on est incapable de faire repartir la croissance économique, donc on va faire peser le poids ce cette incurie sur les salariés, ça ce n’est pas acceptable", a-t-elle conclu.