Le but c’est que la nouvelle agence ne soit pas indépendante juste en apparence, explique Hideaki Shiroyama, professeur à l’université de Tokyo.
Les liens étroits existant entre la Nisa et les industriels ont été pointés du doigt après la crise nucléaire à la centrale de Fukushima-Daiichi.
Après l’accident de Fukushima, le Premier ministre Naoto Kan avait affirmé, en juillet, que le Japon n’avait pas d’autre choix que celui de réduire sa dépendance à l’énergie nucléaire .