Par ailleurs, Nouri El-Mismari, qui réclamait une protection policière à la France, s’est vu opposer un refus : "l’Uclat (unité de coordination de la lutte antiterroriste) a considéré que la protection de Nouri El-Mismari n’était pas justifiée. La question pourra être réévaluée en fonction de l’évolution de la situation dans le pays", a-t-on indiqué place Beauvau, avant l’annonce de l’enlèvement des deux filles.