C’est une fuite de câbles diplomatiques exhumée et diffusée par WikiLeaks, répercutée par le New York Times, qui compromet la chanteuse. Le quotidien rappelle ainsi une information qui circulait depuis 2009, précisant qu’il ne s’agissait pas d’une première, encore moins d’une exception.
Ce genre de perruque de fin d’année faisait manifestement partie du folklore de la famille du dictateur fou libyen, puisque l’année précédente, toujours dans la douceur de l’île de Saint-Barth, le show était mené cette fois par Usher et Beyoncé.
Les câbles WikiLeaks de référence ne stipulent pas le montant du cachet qu’auraient touché les deux étoiles complaisantes du r’n’b