"C’est un résultat important car pour la première fois un médicament est capable d’améliorer la survie des patients les plus graves qu’on puisse imaginer", explique l’un des auteurs de l’étude, Karim Fizazi, de l’Institut Gustave Roussy (IGR), grand centre de lutte contre le cancer situé près de Paris.
"Il y a un bénéfice clair en qualité de vie. Les patients se disent moins fatigués, avec moins de douleurs et moins de pertes en autonomie", explique le Pr Fizazi.