"Après une période de réflexion, j’ai choisi de renoncer", explique-t-elle dans "Ouest France". "Je comprends que, pour certains, être la compagne du Président et travailler pour une télévision puisse susciter des interrogations voire un trouble, c’est pour cette raison que je ne donne pas suite".
Valérie Trierweiler revient également sur le tweet de soutien adressé à Olivier Falorni, l’adversaire de Ségolène Royal aux législatives, admettant "une erreur". "C’est une erreur que je regrette. J’ai été maladroite puisque cela a été mal interprété. Je n’avais pas encore réalisé que je n’étais plus seulement une simple citoyenne".
"Cela ne se reproduira pas, prévient-elle. Quant à ce que, François et moi, nous nous sommes dit, cela relève ‘des affaires privées’ et restera donc privé!", assure Valérie Trierweiler, dans sa première interview depuis l’élection de François Hollande.
La compagne du chef de l’Etat prévient qu’elle renonce pas à son travail de journaliste, qu’elle exerce depuis "22 ans" à Paris-Match. "Conserver mon indépendance financière me semble également plus sain pour garder les pieds sur terre," affirme-t-elle, précisant que son "travail de journaliste, très solitaire, je l’effectue à notre domicile où nous vivons toujours."