Le candidat déchu de 2002 qualifie cette élection d’exceptionnelle et difficile, dans ce contexte de crise, et même "plus exceptionnelle que celle de 81." Face à cette crise, "il vaut mieux une candidature équilibrée et dire à l’Europe que l’austérité n’est pas le seule chemin".
À la question des défauts de François Hollande, Lionel Jospin a répondu en rigolant : "un président élu n’a pas de défaut".