"Nous avons regardé 20.000 dossiers de soldats", a-t-il dit sur RTL. "La première idée était: peut-être une vengeance, peut-être une rancune".
"Les informations liées au jihad ont été également épluchées. C’est le croisement des informations liées à ce que nous pouvons connaître et le travail d’examen des fichiers des adresses internet des interlocuteurs de la première victime qui a permis de se rapprocher", selon lui. Des morts auraient-ils pu être évités ? "Je ne le pense pas, sauf à transformer la France en Etat policier", a répondu le ministre.