"La décision a été prise dans l’espoir que la départ de Saleh du Yémen contribuerait à apaiser les tensions dans son pays et à l’organisation des élections en 2012", a-t-il expliqué.
Josh Earnest, un porte-parole de la Maison Blanche, avait tenu à préciser, lundi, que "si autorisation devait être accordée, elle serait motivée uniquement par des considérations liées à un traitement médical légitime".
Abdallah Saleh avait, rappelle-t-on, contracté des blessures sérieuses, dans l’attentat qui avait ciblé, en juin dernier, son palais.
Au mois de novembre dernier, il avait décidé de renoncer au pouvoir et des élections sont prévues en février prochain pour élire un nouveau chef de l’Etat. En attendant il garde son titre de président de la république yéménite.