Valérie Trierweiler avait assigné en référé le 6 septembre les magazines Public, Voici et Closer pour avoir porté atteinte à son droit à l’image et à sa vie privée en publiant des photographies de vacances.
La Première dame avait demandé 25.000 euros à Voici et 20.000 euros à Public et Closer ainsi que la publication de communiqués judiciaires. Le tribunal n’a pas ordonné ces publications, estimant qu’elles seraient "au cas présent manifestement disproportionnées".