Le quotidien s’est procuré des notes de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) dans lesquelles les analystes français du contre-espionnage explique que "plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d’eux de nouveaux arrivants". "Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l’encontre de leurs pays d’adoption, ces Européens sont susceptibles de s’impliquer dans des actions terroristes."