Outre Abou Firas "le Syrien", le porte-parole d’Al Nosra, plusieurs terroristes trangers sont au nombre des victimes du bombardement sans doute mené par l’aviation syrienne ou russe dans un village situé au nord-ouest de la ville d’Idlib, précise l’OSDH, proche de l’opposition.
Le fils d’Abou Firas et des combattants ouzbeks ont notamment été tués dans le raid qui visait également le groupe Jound Al Aksa (les "soldats d’al Aksa"), ajoute l’organisation.