"Naturellement que je ne pouvais pas y aller, à Fukushima, parce qu’il y avait un périmètre de sécurité (…) qui était 30 km autour", a-t-il dit. "J’ai été au Japon, pour parler de Fukushima. J’ai rencontré le Premier ministre et nous n’avons parlé que de ça."
"Dans le meeting, ça faisait mieux de dire ‘j’ai été à Fukushima’ que de dire ‘j’ai été à Tokyo’, parce que ‘j’ai été à Tokyo pour parler de Fukushima’, ça passait moins bien", a ajouté Nicolas Sarkozy.