"Ce n’est pas à moi de démontrer que Jérôme Cahuzac est coupable ou innocent. Ce n’est pas à moi de mener une enquête parallèle", s’est défendu le ministre en expliquant avoir cependant lancé une demande d’entraide fiscale auprès de son homologue suisse le 24 janvier, en restant dans la limite de ses pouvoirs. La réponse des autorités suisses a été qu’il n’y avait pas de traces d’un tel compte, selon lui. "Jusqu’au jour des aveux de Jérôme Cahuzac, je ne savais rien", a-t-il précisé.