"C’est une bonne nouvelle pour la lutte contre le terrorisme, mais c’est une mauvaise nouvelle pour les négociations pour libérer les otages français", a estimé une source malienne proche des négociations en vue de la libération de ces otages enlevés dans le nord du Niger à la mi-septembre 2010. "Ca va être dur. Chez les gens d’Aqmi, il y en a qui étaient en rapport avec Ben Laden, son entourage. Donc ces gens là peuvent durcir les négociations", a-t-elle ajouté.
Une autre source nigérienne proche des négociations a estimé que les dirigeants d’Aqmi "vont probablement" pleurer "d’abord la mort de leur chef Ben Laden, en faisant ses louanges. Après, ils vont décider en tenant compte du nouveau chef d’Al-Qaïda qui sera désigné".