Le ministre français a souligné que la décision de Rome d’accorder des permis de séjour temporaire aux plus de 20.000 migrants tunisiens arrivés dans le pays depuis janvier "a été contestée par beaucoup de pays de l’Union européenne".
"Mais, nous avons accepté cette disposition. En revanche il y a des conditions", a-t-il insisté en évoquant notamment la nécessité pour les migrants de "disposer de ressources financières suffisantes".