En outre, en raison de la proximité des pays touchés, le Malawi et la Zambie ont été initialement inclus dans cette liste de pays.
C’est ce qu’indique l’arrêté publié vendredi au Bulletin officiel de l’État (BOE), qui rappelle que les conditions qui ont conduit à l’adoption de ces mesures le 26 novembre dernier face à l’apparition de la nouvelle variante d’Omicron dans plusieurs pays d’Afrique australe sont maintenues.
Désormais, en plus des deux pays précédents, l’Afrique du Sud, le Botswana, l’Eswatini, le Lesotho, le Mozambique, la Namibie et le Zimbabwe restent à haut risque.
L’arrêt, qui entrera en vigueur le 13 décembre à 00h00, restera en vigueur jusqu’au 26 décembre, et pourra être prolongé si les circonstances qui l’ont motivée continuent d’exister.
L’apparition de la variante Omicron a déclenché la réponse politique intégrée aux crises (IPCR) du Conseil de l’UE, qui a conclu que les États membres devaient activer le « frein d’urgence » et imposer d’urgence des restrictions temporaires à tous les voyageurs en provenance de ces pays.
À cet égard, la présidence de l’UE a demandé aux États membres de procéder à des tests de diagnostic et de mettre en quarantaine tous les passagers en provenance de ces pays, conformément aux dispositions de cette recommandation.