"Quelqu’un qui manifestement possédait chez lui des armes de guerre alors même qu’il était parti deux ans en stage de criminalité au Pakistan et en Afghanistan, c’est vrai que c’est assez inquiétant", a ajouté la candidate FN.
Interrogée sur la question de savoir s’il fallait arrêter, préventivement, les personnes ayant effectué des stages militaires en Afghanistan et au Pakistan, la présidente du FN a répondu : "Ce qui est sûr en tout cas, c’est qu’ils sont en possession d’armes". "Parmi les multiples promesses" qu’elle a entendues en 2007, il y avait, a-t-elle souligné, "celles d’aller chercher les armes dans les caves. Je n’ai pas le sentiment qu’on ait fait ça", a dit Mme le Pen.