Si Manuels Valls a rappelé qu’aujourd’hui, ETA proclame son souhait d’intégration politique, affirme être disposée au dialogue », il a estimé qu’il appartenait « au seul gouvernement espagnol d’apporter les réponses qu’il considère utiles ».
La position qu’adopteront les autorités espagnoles sera « celle du gouvernement français », a-t-il assuré, ajoutant toutefois, qu’à son sens, « la dissolution de cette organisation terroriste est évidemment une condition sine qua non ».M. Fernandez a souligné qu’il « n’y aura pas de négociation politique avec l’ETA ».