La réunion, à laquelle ont pris part les membres de l’Assemblée Générale des Nations unies, ainsi que des Organisations et des ONG internationales, s’est attelée à la discussion des modalités de financement des dépenses engendrées par les décisions prises à l’issue des sessions spéciales et extraordinaires du Conseil des droits de l’Homme.
Ces sessions spéciales d’urgence, comme celle concernant l’attaque israélienne sur Gaza, et qui a donné lieu à la mise en place d’une mission d’enquête internationale menée par le Juge Goldstone, ne sont pas incluses dans le budget annuel du Conseil, a-t-on précisé.
Il s’agit de la quatrième réunion, depuis le lancement du processus de réexamen du statut du Conseil, cinq ans après sa mise en place, tel que stipulé dans la résolution 60/251 de l’Assemblée Générale, portant création du Conseil.
Les ambassadeurs du Maroc et du Liechtenstein tiendront dans les semaines et mois à venir, des séries de consultations et de réunions touchant à d’autres aspects de ce processus de réexamen, notamment au statut du Conseil par rapport aux autres organes des Nations Unies et à sa relation avec l’Assemblée Générale.
MM. Loulichki et Wenawesser ont été mandatés par le Président de l’Assemblée Générale pour faciliter et mener à terme ce processus intergouvernemental de revue du principal Organe des Nations Unies chargé de la promotion et de la protection des droits de l’Homme, rappelle-t-on.(Source MAP).