Les propos litigieux remontent à l’époque de la marche du 11 janvier 2015 après les attentats de Paris.
Zakaria Moumni, qui a porté plainte en France pour des allégations de torture contre le patron de la DGS, désignait le secrétaire particulier du roi comme le "commanditaire".
Lle tribunal de grande instance de Paris a estimé que ces allégations ne peuvent "constituer, en eux-mêmes, une base factuelle suffisante pour accuser Mounir El Majidi d’en avoir été l’instigateur".
Les conseils de M. El Majidi, Mes Hervé Temime et Jean-Yves Dupeux se sont félicités que de ce jugement qui "rétablit" leur client dans "son honneur".
Le boxeur avait été condamné en octobre 2010 par la justice marocaine dans une affaire d’escroquerie, puis libéré après 18 mois de détention et une grâce royale.