Dans ce communiqué, les Affaires étrangères ont exprimé leurs "regrets" après cette démission, rappelant que Damas a toujours soutenu le plan de paix en six points de Kofi Annan, et coopéré pleinement avec la mission d’observation de l’ONU.
La Syrie accuse en outre les "Etats qui cherchent à déstabiliser la Syrie" d’avoir "entravé" la mission de M. Annan, ajoute le communiqué, concluant que Damas poursuivra "sa lutte contre les groupes terroristes dans le but de ramener le calme et la stabilité dans le pays, et protéger le peuple innocent les institutions étatiques et privées de l’Etat".
