A défaut, il les considérera "comme une atteinte à la souveraineté syrienne", ajoute Walid al Moualem, cité par la télévision publique syrienne.
Le chef de la diplomatie syrienne s’exprimait lors d’une visite en Iran, principal allié régional du président syrien Bachar al Assad.
L’administration américain a autorisé des frappes aériennes pour défendre les rebelles syriens formés par l’armée américaine même dans le cas où les assaillants seraient issus des forces loyales au président syrien, a-t-on appris ce week-end auprès de responsables américains. (voir )
La décision, prise par le président Barack Obama, a été critiquée à Moscou, où le porte-parle du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé lundi que tout soutien à des opposants au président syrien, allié de Moscou, revenait à contrecarrer la lutte de Damas contre l’Etat islamique.