"Si les Chinois, qui ont 60% des réserves mondiales, décident de les investir dans l’euro plutô t que dans le dollar, pourquoi refuser ?", a-t-il déclaré à la télévision, ajoutant que "notre indépendance se sera en rien remise en cause".
La Chine n’est pas indispensable au sauvetage de l’euro, mais les Européens n’ont pas de raisons de refuser les capitaux chinois qui s’investiraient dans un fonds de sauvetage de la zone euro, a déclaré jeudi le président français Nicolas Sarkozy.