L’intervention en Syrie ne fait pas l’unanimité dans la classe politique française.

L’intervention ne fait pas l’unanimité dans la classe politique française. A gauche, le numéro 1 du PCF, Pierre Laurent, juge nécessaire de lancer un débat au Parlement. Jean-Luc Mélenchon, lui, estime qu’une action militaire serait «une erreur gigantesque, peut-être le seuil d’une guerre beaucoup plus large que toutes celles que nous avons vues dans cette région».

Le leader du Front de gauche n’est pas le seul à garder en mémoire la guerre américaine en Irak, à laquelle la France avait refusé de s’associer. «Nous sommes dans une séquence qui rappelle celles des armes de destruction massive en Irak», a souligné le sénateur Philippe Marini (UMP). Tandis que le député de Paris Pierre Lellouche (UMP) réclamait un accord de «l’ensemble de la communauté
internationale», sous peine d’«ajouter la guerre à la guerre et les clivages aux clivages».

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