Ce résultat est la conséquence de la baisse des dépenses de l’Etat, estimées à 34,7 milliards d »euros (- 14,1 %), face à la réduction des recettes qui ont totalisé 27,8 milliards d’euros (- 12,4 %), a précisé Ocana.
Selon le responsable espagnol, le déficit public doit être analysé en tenant compte des mesures prises par le gouvernement, notamment la réduction des impôts et autres initiatives visant à favoriser l’emploi et l’investissement.
L’économie espagnole est plongée dans une période de crise exacerbée par plusieurs facteurs dont un taux de chômage des plus élevés en Europe et une récession galopante.
Cette situation de crise s’explique, notamment par la correction des déséquilibres internes et externes accumulés durant les 10 dernières années, l’impact de la crise économique sur les différents secteurs d’activité et la baisse de la consommation et de la demande intérieures.