Dès le coup d’envoi, les Pharaons, qui avaient connu des difficultés à atteindre ce stade de la compétition en éliminant in extrémis les Nigérians 27 à 26 aux phases des quarts de finale, n’ont pas commis les mêmes erreurs et se sont rués à l’attaque pour achever la première période avec une confortable avance de 9 buts (21-12).
Pourtant les Algériens s’étaient qualifiés plus facilement au tour précédent après avoir surclassé les Guinéens 33-18. Mails, ils ne semblaient pas disposer des mêmes armes pour pouvoir bousculer la hiérarchie face à des Égyptiens plus solides tant sur le plan défensif qu’offensif et qui n’ont pas baissé de rythme ni de sérieux en dépit de leur large domination dans le jeu et au tableau marquoir.
Et c’est tout naturellement qu’ils ont poinçonné leur billet pour le dernier virage menant à la médaille d’or en aggravant le score à 17 unités de différence.