Panetta, qui dirige le Pentagone depuis le mois de juillet, a indiqué partager l’analyse de son prédécesseur Robert Gates, selon laquelle une frappe sur l’Iran ne ferait que retarder son programme nucléaire, que les puissances occidentales jugent de nature militaire et non civile comme le prétend la République islamique.
Robert Gates estimait en outre qu’une telle action aurait pour effet d’unir le pays et de ne faire que renforcer sa détermination à se doter de l’arme nucléaire