Les ministres européens des Affaires étrangères, réunis pour un conseil extraordinaire à Bruxelles, ne sont pas parvenus à définir une position commune sur le sujet mais se sont félicités que certains pays, comme la France, aient décidé de le faire.
L’UE promet en outre de réfléchir aux moyens à mettre en oeuvre pour empêcher l’Etat islamique de vendre le pétrole des gisements dont il s’est emparés en Syrie et en Irak. Elle réclame en outre l’ouverture d’une enquête pour déterminer si les exactions commises dans les deux pays relèvent des crimes contre l’humanité.