Le dignitaire, plus haute autorité religieuse chiite d’Irak, passe pour avoir fait et défait tous les Premiers ministres depuis la chute du dictateur Saddam Hussein en 2003. Mais cette fois-ci, a-t-il prévenu, il ne fait "pas partie" des négociations et ne joue "aucun rôle", alors que les manifestants veulent le départ de toute la classe dirigeante.
