Interrogé sur sa décision, unilatérale, de faire intervenir l’armée au Zaïre, en 1978, l’ancien président s’est justifié en expliquant que "c’était un massacre en cours, on ne pouvait donc pas entrer dans une procédure longue. Et si on l’avait annoncé, les gens à terre auraient tiré sur nos avions."
