Cette dissolution a été prononcée sur proposition du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a-t-elle indiqué. Ces trois structures, dont des sympathisants ont été impliqués dans la mort du jeune militant d’extrême gauche Clément Méric, "présentaient les caractéristiques de milices privées" incitant à "la discrimination et à la haine", a fait valoir la porte-parole.
