Plus de 90 personnes ont été tuées dans les violences qui ont fait suite à la mise à l’écart de Morsi le 3 juillet après plusieurs jours d’une contestation de grande ampleur demandant le départ du chef de l’Etat issu de la confrérie islamiste.
Le parquet de la République a annoncé samedi avoir enregistré des plaintes accusant l’ex-président et plusieurs dirigeants des Frères musulmans d’espionnage, d’incitation à l’assassinat de manifestants et de dégradation de l’économie.
