Cités par l’agence, ces avocats koweïtiens soulignent qu’il s’agit d’"un geste de reconnaissance envers Moubarak" pour son soutien au Koweït durant l’invasion irakienne en 1990.
Parmi les chefs d’accusation retenus contre Hosni Moubarak et ses deux fils, figurent ceux d’"homicides volontaires et de tentative de meurtre de manifestants ", ainsi que l’abus d’influence, la dilapidation délibérée des deniers publics et d’enrichissement privé illicite.
Le parquet accuse également Moubarak d’avoir "participé avec Habib al Adli, ancien ministre de l’Intérieur et certaines autorités policières (…) au meurtre prémédité de plusieurs participants aux manifestations pacifiques à travers le pays ".
Selon des sources judiciaires égyptiennes, l’ex-président égyptien pourrait être condamné à la peine capitale s’il était reconnu coupable.