"La majorité des journalistes ont eu leur visa, il y a toutefois une dizaine de journalistes pour lesquels ce n’est pas le cas", a précisé la même source, notant que "notre objectif c’est que tout le monde parte, nous mettons tout en oeuvre pour y parvenir, en lien avec les autorités algériennes".
Lundi soir, le chef de file de La République en marche (LREM) et ancien porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, avait déjà été interrogé à ce sujet lors d’une émission télévisée. Il avait jugé que cette situation était "préoccupante".
"Je pense que c’est normal, pas pour vous individuellement, mais pour que tous les journalistes français puissent accompagner le président de la République française, ça me semble logique", avait répondu Castaner.
"Ensuite, on ne peut pas imposer au pays qui nous accueille sa politique, mais je vous le dis très clairement : vous avez toute votre place pour accompagner ce déplacement du président de la République française.", avait-il ajouté.